Il y a quelques temps, je me promenais sur le port de Monaco
Il y avait bien sûr des super-yachts, mais, à la réflexion, pas tant que ça.
Je parle de yacht de plus de 50 mètres.
Une dizaine seulement.
Il n’y a pourtant pas beaucoup d’endroits comme Monaco, et que dans le monde, il y a des milliers de milliardaires
Alors évidemment, tous les milliardaires n’ont pas leur yacht.
Mais cela m’a amené à la réflexion suivante :
Il existe différents types de “super-riches”.
Examinons ensemble quelques types.
Type n°1 : Le super-riche “de luxe”
Il ne tolère que “le meilleur”.
Il a souvent beaucoup manqué.
Alors maintenant, quand il part en vacances, il veut LA meilleure villa.
Quand il va au restaurant, c’est dans LE meilleur restaurant.
Pourquoi voler en avion normal quand on peut voler en jet ?
Pourquoi avoir une voiture normale quand on peut rouler en Rolls ?
C’est le cliché du riche qui possède un yacht, qui fait la fête.
Il met le curseur du luxe au maximum.
Type n°2 : Le super-riche “libre”
Ce super-riche là n’est pas vraiment attiré par le luxe.
Il a souvent beaucoup travaillé.
Pour faire fortune, il a dû faire des tas de compromis et il a dû se soumettre à des tas d’obligations.
Et le jour où il a enfin réussi, sa priorité a été de dire “ne venez plus m’emmerder”.
Il vit souvent au soleil, en short et en t-shirt.
Son luxe à lui, c’est de ne recevoir aucun coup de téléphone, et de se la couler douce.
Type n°3 : Le super-riche “joueur”
Le super riche joueur s’amuse dans le business.
Pour lui, l’argent sert juste à jouer un niveau au-dessus.
Quand on joue au foot, on préfère jouer en Ligue 1 plutôt qu’en division départementale.
Quand on joue au business, on préfère jouer avec des entreprises qui font des centaines de millions d’euros plutôt qu’avec le petit commerce du coin.
Ce super-riche porte toujours un costume. Il ne s’arrête jamais. Il ne veut surtout pas manquer un deal.
Quand il invite quelqu’un à passer le week-end dans son château, c’est forcément une relation d’affaires avec qui un deal est faisable.
Contrairement au riche “de luxe”, le riche “joueur” ne dépense pas. Il accumule.
Type n°4 : Le super-riche “passionné”
Ce super-riche là n’est devenu riche que dans un seul but : assouvir sa passion.
Que ce soit les plantes tropicales, la chasse, les antiquités ou les manuscrits du moyen-âge, il y consacre sa vie.
Il vit là où sa passion le force à vivre.
Pour lui, son business n’est qu’accessoire.
Il n’a qu’une seule obsession : réunir LA collection, construire L’OEUVRE d’une vie.
Type n°5 : Le super-riche “écrasant”
Pour lui, être riche ne sert qu’à montrer aux autres qu’il est au-dessus d’eux.
Souvent, il vit toujours là où il a grandi. Parce que s’il s’en va, il perdra de vue les gens qu’il veut impressionner.
Il évite les endroits où se trouvent d’autres riches : il n’aime pas la concurrence.
Il aime que l’on vienne lui demander de l’argent, ou un service.
Il refuse tout le temps, sauf si on accepte de lui cirer les pompes pendant de longues semaines.
Il est entouré de gens qui le détestent, mais qui ont beaucoup de besoins et peu d’amour propre.
Type n°6 : Le super-riche “terrorisé”
Il a fait fortune parce qu’il a été au bon endroit, au bon moment.
Il sait pertinemment que s’il perdait tout, il serait incapable de reconstruire.
Et il sait aussi qu’il ne supporterait plus de vivre sans argent.
Alors il est radin. Il pense que tout le monde veut le voler. Il se cache.
Il porte des vêtements usés. Se chauffe mal. Il a une vieille voiture. Aussi bien pour économiser que pour ne pas attirer l’attention.
Il est seul et rongé par l’anxiété. Son argent c’est sa prison.
J’en oublie sûrement
Si vous en voyez d’autres, dites-le moi en répondant à cet email.
Une chose est sûre : les riches sont comme nous.
Il y en a des simples, des malins, des radins, des frustrés, des tordus, des sympas…
Ils ont juste en commun d’avoir trouvé le moyen d’avoir plus d’argent.
Il n’y a pas UN type de riche
Il n’y a pas UNE façon de s’enrichir.
Bourse, immobilier, cryptomonnaies, reprise d’entreprise…
A vous de trouver la voie qui vous correspond.
Et d’avancer, un pas après l’autre !