Ce graphique représente le temps que nous passons avec nos collègues de travail en fonction de notre âge
Vous voyez que plus le temps passe, moins il font partie de notre vie.
Cet autre graphique représente le temps que nous passons :
Avec notre famille, nos enfant et nos amis
Enfin, ce troisième graphique représente le temps que nous passons… seul
Le constat est sans appel : plus le temps passe, plus nous sommes seuls.
L’humain est un être social
Il fait beaucoup pour être intégré dans des groupes.
Mais le destin est cruel. Plus le temps avance, plus nous sommes… seul.
Comme si la vie nous apprenait ou nous préparait à cela.
C’est d’autant plus cruel que nous sommes nombreux à faire des choix non pas basés sur ce que nous voulons vraiment…
Mais sur ce que les autres vont penser.
On gâche sa vie pour plaire à des gens…
Qui de toute façon vont nous laisser de plus en plus seul.
Une autre pensée, assez vertigineuse :
Dans 3 générations, tous les gens que l’on connaît auront disparu.
Et plus personne ne se souviendra ni de nous, ni de ce que nous avons fait.
Cette fois où nous nous sommes sentis ridicules…
Cette fois où nous avons accepté de faire ce que nous ne voulions pas faire, par peur de déplaire…
Cette fois ou nous n’avons pas fait ce que nous voulions faire, par peur de déplaire.
Pourquoi s’imposer ce manque de liberté ?
On n’a qu’une vie
Plus elle avance, plus on sera seul.
Et plus personne ne se souviendra de ce que nous avons fait ou pas.
Alors vivons notre vie sans tenir compte de l’opinion des autres.
Et faisons en sorte, plus le temps passe, d’être heureux en nous disant “j’ai bien vécu”.
La première liberté est facile à gagner
Il s’agit simplement de se débarrasser de la peur du “qu’en dira-t-on”.