Cet été, j’ai notamment fait une randonnée sur plusieurs jours
Elle était prévue de longue date, les refuges étaient réservés.
Problème : lors d’une étape, nous nous sommes retrouvés sous une averse monumentale.
Nous sommes arrivés trempés jusqu’aux os.
Nous avons croisé d’autres randonneurs
Il fallait voir leurs têtes… Ils ne rigolaient pas.
Moi au contraire, j’étais heureux.
Pourquoi ?
Parce que je savais que ce moment précis serait un souvenir fort.
Quelque chose dont on pourra reparler, avec les personnes qui m’accompagnaient, dans 5 ou 10 ans.
Alors que si la journée avait été “normale”, elle aurait sûrement été oubliée.
Vous connaissez l’adage :
“Les mers calmes ne font pas de bons marins”.
Avec le temps j’ai développé cette capacité d’accueillir tout ce qui m’arrive positivement.
Les bonnes nouvelles sont de bonnes nouvelles.
Et les mauvaises nouvelles sont des occasions de devenir meilleur, d’apprendre, de progresser.
Beaucoup de gens aimeraient qu’il ne leur arrive que des choses positives
Je ne me plains donc jamais quand il m’arrive quelque chose de négatif.
Je sais qu’il est impossible de n’avoir que des bonnes nouvelles, alors je me débrouille pour que les mauvaises n’en soient pas.
Pourquoi ne pas essayer ?
Dès aujourd’hui, réjouissez-vous de tout.
Un embouteillage est l’occasion d’écouter plus longtemps la musique que vous aimez, ou le nouvel épisode du podcast “Au Coin du Feu” (pensez à vous abonner à la chaîne Youtube si ça n’est pas déjà fait).
Une expérience catastrophique est l’occasion d’en rire avec vos amis ou de le raconter à vos petits-enfants.
Un licenciement est l’occasion de vraiment prendre votre orientation professionnelle en main.
Tant que la santé n’est pas impactée, il n’y a QUE des bonnes nouvelles
À chaque tempête, vous devenez plus fort.
ET vous savourez mieux les moments de calme !